La chasse aux indices [& Nedjra - Quête]

La chasse aux indices [Quête]

PV Alice Beauregard

Elle m’avait demandé si un lieu m’avait plu, ce qui n’étais pas vraiment le cas ou plutôt, qu’entendait-elle par plu ? Ainsi, je répondis a la question le plus justement possible en avançant notamment que si cela avait été le cas, je ne serais plus là depuis bien longtemps. Mais que cela soit passé, présent ou future, cela a de doute façon bien peu de chance d’arriver, ce monde n’a aucun intérêt... On pourrait même dire que la seule finalité pour ceux qui y vivent est finalement la mort. Il vaut mieux être un objet, car a default de pouvoir changer cette fatalité, elle finit par ne plus nous atteindre comme autre chose qu’un fait et rien d’autre. Il semble qu’il était venu le temps de dormir au vu des dires de la dame ;
« - Je vois. Nous devrions dormir, économiser un maximum de force pour la suite de nos recherches. Je crains que cette personne ne nous ai mis de nombreux bâtons dans les roues, soyons prudentes. Bonne nuit, Nedjra. »
J’hocha simplement la tête, comme une réponse muette a un ordre clair. La fille se leva, uniquement pour fermer les volets encore ouvert et plongé la pièce dans l’obscurité bien que cela ne changeait nullement quelque chose dans mon cas, y voyant tout aussi bien qu’en plein jour. Elle se recoucha aussitôt et j’hésita entre le sol et le second lit ; mais j’étais habitué à la dureté du plancher, c’est donc dans un coin que je m’appuyai et m’assis, posant ma tête contre le mur et finissant par m’endormir. Je repensai à ma cage, j’étais habitué dedans à vivre sur le sol dur, à entendre les lamentations des autres, à ne plus penser a rien. Depuis que j’ai dû partir, je suis obligé d’a nouveau réfléchir....
Le lendemain, la blanche me demanda :
« - Avez-vous bien dormi ? Dois-je vous attendre pour descendre dîner ?
- Oui. Je vous suis. »
Sans doute avais-je compris que répondre simplement que c’est comme elle voulait ne l’aurais pas satisfait. Je me levai simplement, je ne m’étais pas changer depuis hier et je m’étais réveillé rapidement dès les premiers pas de la dame. Ainsi, je la suivie, dînant ce que l’on me donna bien que de moitié tout comme la veille.

@Tenebreuse

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PV Alice Beauregard

Ainsi, je l’avais suivie sans dire grand-chose de plus, mangeant peu une fois arrivé en bas, comme a mon habitude. Comme un écho lointain, le silence de ce moment alors que l’on était deux me rappela de nouveau des douleurs passées, des douleurs que la panthère ne fait qu’observé. Dans le froid glacial, on n’avait pas non plus l’habitude de parler lors des repas, il préférait simplement me sourire avec son air bourru. Je ne le reverrais jamais ce sourire, c’est pour le mieux, car ce sourire c’est évanoui en même temps que ça vie, me laissant derrière simplement, si seulement j’avais déjà été ce que je suis à ce moment-là, cela aurait été plus simple. Et puis, avec mon père aussi on parlait peu quand on était deux, les repas étant alors surtout ponctué par ses quintes de toux. Finalement, le plat finit, nous repartîmes immédiatement, m’indiquant une fois dehors ;
« - Rendons-nous directement au port et tâchons de découvrir quel est ce grand bateau où se cache l'individu que nous recherchons. Je suppose que ça vous convient, ne traînons pas, alors. »
Je fis simplement un signe de tête affirmatif, montrant que j’avais bien reçus et compris l’ordre donné. Je la suivie sans attendre alors qu’elle repartait déjà, mettant son sac simplement sur son dos. Nous retournâmes tout d’abord dans le même type de rue et ruelle que la veille. Alice rasait les murs, je la suivais de prés sans pour autant en adopter le même comportement, marchant simplement derrière elle sans me coller au bâtiment. Quand elle parla à des soldats, je ne dis rien, je ne fis pas vraiment attention aux différents regards qui m’était adressé, étant finalement mon lot quotidien. Les servantes, tout ceux qui entourait Diavule avaient les mêmes regards, le même pétillement de haine au fond de leur yeux.
On arriva finalement au port, mon odorat capta bien des odeurs qui s’entrelaçait, se mélangeait tout comme l’horizon montrait l’union de la mer et du ciel. Cela ne e fit rien pour dire vrai, les immense bateau et cette vue lointaine ne faisait resurgir en moi, que le souvenir de mon arriver ici. Aujourd’hui, on doit trouver un navire alors que par le passé, c’est bien l’un d’eux qui m’a permit d’arriver ici, ou je m’étais simplement faufilé. Lequel, je ne sais pas, peut-être même qu’il n’est pas à quai ou qu’il n’existe plus car ce n’étais qu’un détail avant que je m’enfonce dans les ténèbres de cette ville. Aussi, bien que les odeurs qui me parvenait me semblait qu’anecdotique et ceux malgré leur forte senteur, on ne pouvait en dire autant d’Alice qui avait mis son nez sans sa cape. Mais bon, évitant quelques bousculades du au monde travaillant sur le lieu et quelques autres possible mésaventure, on finit par voir un individu a qui Alice pouvait poser ses questions. Ce dernier, portait un costume blanc et un chapeau a plume, il s’exprimait à voix forte, faisait des grands gestes comme s’il était l’acteur principal d’une pièce de théâtre.
« - Bonjour, nous cherchons le plus grand navire actuellement à quai, sauriez-vous nous renseigner ?
- Ah, ma chère, c'est qu'il y en a deux ! L'astrea et ses six voiles lui octroyant sa légendaire vitesse dont les cales sont chargées des prestigieux passagers du monde entier et L'Amiral dont les matelots sont connus pour être le meilleur équipage d'Ezylone. Lequel précisément cherchez-vous ? »
Ainsi, nos choix devraient se limiter à deux bâtiments mais on pouvait au moins admettre qu’on aurait pu en avoir plus à vérifier. Je me demandai si l’un des deux appartenait à la compagnie de Diavules mais je supposai que non, attiré ainsi l’attention ne serait que pour lui-même et non sa compagnie. Cela dit, cela ne sembla pas particulièrement plaire à la dame, surement du au fait de devoir inévitablement vérifier chacun d’entre eux. Je reçus mes ordres avant qu’elle demande à l’individu ;
« - Allez-vous renseigner sur l'Amiral, je m'occupe de l'Astrea, on se retrouve ici dès que nous avons appris quelque chose. Si vous ne trouvez rien, ne perdez pas de temps et revenez immédiatement ici.
Indiquez-moi l'emplacement de l'Astrea, et celui de l'Amiral à mon amie ici présente. »
J’avais acquiescé bien entendu alors que déjà, l’un et l’autre navire fut indiqué. Ainsi, on se sépara, me dirigeant vers le navire ayant le nom d’un grade. On ne peut pas dire que le bateau était particulièrement modeste avec sa proue représentant le buste d’une femme ou de ses nombreuses décorations tout de jaune paré. Mais c’était surtout sa taille évidente qui attirait l’attention, me demandant même si Samui était plus grande que ce bâtiment. Finalement, je trouvai une échelle pour monter à bord, n’ayant rien demander a personne et me faisant rapidement interpeler.

Un grand gaillard vint directement à ma rencontre, bombant un peu le torse, cherchant sans doute à impressionner ou intimidé de manière la plus ridicule le bon gens montant a bord. Sa voix était grave, mais était ce naturelle ou bien un autre artifice comme pour se montrer supérieur ou menaçant ?
« - Hé toi ! Que fait tu as bord ? On n’aime pas voir de la vermine souillé le pont de notre navire.
- Je viens ici pour chercher une personne qui nous a indiqué ce lieu.
- Qu’est ce qui te dit qu’elle se trouve à bord c’te fameuse personne ?
- Rien, c’est bien pour cela que je dois la chercher. »
Indiquai-je simplement, commençant déjà à marcher sur le pont, attirant de plus en plus des regards d’autre matelot se trouvant ici. L’autre brute allait me retenir par l’épaule mais c’est un autre bras, plus frêle qui me barra le chemin, prenant la main de l’autre pour lui éviter de me toucher, je m’arrêtai, regardant l’élégant costume et celui qui le portait. Il était plus petit et plus jeune que la brute mais surement également de plus haut rang au sein de l’équipage.
« - Je m’en occupe, va donc laver le pont puisque tu n’as rien d’autre à faire.
Que puis-je pour vous ? »
L’autre serra les dents avant de s’en aller, je dis donc que je cherchais quelqu’un. On me demanda à quoi cette personne ressemblait mais a mon simple dire que cette dernière aimait les énigmes, le jeune homme se dit que le plus simple était d’aller voir le capitaine.

Ce dernier était dans sa cabine, son bureau était couvert de dessin de territoire et de divers papiers que je saurais déchiffrer. Il y avait également la bouteille d’un alcool fort trainant dans un coin, a semi fermer seulement. Le capitaine fumait sa pipe, relevant des yeux à mon arrivé et celui de son second. Bien que bourgeonnant d’abord qu’il était bien occupé, il accéda à ma requête et écouta la situation avec calme. Je ne remarquai qu’aucun des deux n’avais l’œil mauvais sur ma personne, ne m’affublant d’aucun qualificatif douteux basé sur mon apparence ou ma race. Après avoir acquiescé plusieurs fois, l’homme barbue se leva, sa voix était profonde, a l’image d’une coque qui craque et ses nombreux reniflements n’était aucun doute sur un rhume naissant.
« - Je comprends votre situation et je suis désolé de ne pouvoir vous aider. Malgré notre équipage très divers avec nos personnalité forte ou étrange, aucun ne semble correspondre a ce que vous rechercher et ce n’est pas avec si peu d’information que je peux vous aider. Je ne peux vous laisser vous balader ainsi sur le navire pour chercher quelque chose que vous-même ignorez l’objet de votre recherche. Comprenez-moi, mes matelots n’apprécieraient pas et le navire d’un équipage est aussi un peu son second foyer et personne n’apprécie qu’une parfaite inconnue fouille son foyer sans demander et sans raison. De plus, on a quelque jour seulement du départ et mon équipage et moi-même sommes bien trop occupé pour vous accorder du temps. »
C’est ainsi que je retournai au point de rendez-vous, ayant été assez aimablement chassé du navire avec u autre désolé du second de ne pas pouvoir aider. J’attendis donc Alice.

@Tenebreuse

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PV Alice Beauregard

Ainsi, la fille revint avec un animal assez grand, a l’arrière train bas avec des pattes antérieures tenant plus du sabot alors que celle supérieur tenait plus de la main. Le tout, avec les longues cornes, n’était pas des plus esthétique mais au moins il n’était pas hostile. Mes yeux quittèrent difficilement cette bête bien plus animale que moi au final pour se concentrer sur Alice qui m’aborda et à qui je répondit le plus justement qu’il m’était possible.
« - Je crois que j'ai trouvé la suite de notre voyage. Avez-vous déjà vu Sabliar ? J'espère en tout cas que vous n'avez pas le mal de mer, car nous partons pour une bonne traversée de Mû. Si vous n'avez plus rien à faire à la Technopole, nous devrions prendre place sur l'Astrea. J'espère seulement que ce mystérieux informateur nous aura choisi une cabine confortable.
- Non, je n’ai jamais vu Sabliar mais je sais que c’est le territoire de Apophis. Non, je n’ai pas le mal de mer, je suis moi-même arrivé ici des terres de glace par ce moyen de transport. »
Ensuite, je la suivie simplement jusqu’au navire. Une pensée, peut être à l’allure morbide me traversa l’esprit en regardant de nouveau la bête qui nous accompagnait : si elle chargeait, est ce que l’on se ferait traverser de part en part par l’une de ses cornes, répandant tripes et boyaux au sol ? Mais je ne sus pourquoi cette question s’imposa à moi… Une question sans crainte ni attirance, comme une simple expérience a essayer sans que cela me concerne. J’imagina alors toutes les possibilités, les contraintes, ce qui pouvais amener un animal si calme à s’énerver ainsi, les conséquences précise et nos propres contraintes pouvant amener un tel scénario. Sans doute qu’avec mon maitre principal et ses cages, je n’aurais pas à penser à cela, ni à penser tout court. La longue agonie de l’esprit me va très bien alors que déjà, je me demande si ce corps va encore servir à quelque chose, a quelqu’un peut être ? Le navire était prestigieux a n’en point douter mais je ne saurais dire entre lui et l’Amiral lequel était le plus grandiose. L’un n’avait rien à envier aux décorations de l’autre. Je laissai Alice gérer les banalités, ne sachant d’ailleurs pas ou l’animal serait mis sur le navire de toute façon, je me contentai donc de la suivre. Il était facile de deviner qui venait d’ici et qui venait d’ailleurs, il suffisait de voir les regards portés sur ma personne. Celui qui prenait les noms étaient surement de cette cité de fer et d’acier au vu du reniflement dédaigneux qu’il se permis de faire bien qu’il ne dit mot. On nous informa des règles a bord ainsi que des horaires de repas. Ils étaient large, je me demandai pourquoi nous avoir guider sur ce type de bateau. On nous donna une brochure à lire, je ne regardai même pas la mienne, mes talents de lecture et d’écriture étant très loin d’être suffisant pour décrypter la langue d’encre.

On nous indiqua ensuite les cabines. Comme on pouvais s’y attendre d’un bateau, même grand, les cabines n’était pas immense mais restait bien entretenue et joliment décoré si bien que la taille était la seule chose a reproché. Mais maintenant que l’on était là, une chose s’imposa à moi. Je regardai Alice, me tenant droite, d’un air égal :
« - Que faisons-nous à présent ? Doit-on fouiller ce navire ? »
Après les recherches déjà effectué, il me semblait difficilement crédible que la seule chose qu’il nous restait à faire était attendre.

@Tenebreuse

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PV Alice Beauregard

Ainsi, on avait embarqué sur le navire, je rassurai la fille que je n’avais aucun mal avec ce mode de transport et que je n’avais donc pas le mal de mer. En effet, ce n’étais pas la première fois que j’empruntais ce moyen afin d’arriver dans un autre endroit inconnu car c’était un fait, là ou nous nous dirigions m’étais aussi inconnue, n’ayant pour référence que des histoires contées. Ont eu une description détaillée du navire ou plutôt de son séjour à bord et on nous présenta rapidement nos cabines. L’occasion se présentant, je demandai à Alice si on devait fouiller le navire a la recherche de notre mystérieux commanditaire.
« - Je n'en ai vraiment aucune idée. Mêlons-nous aux passagers ! Le maître de ce petit jeu est peut-être parmi eux, même si cela m'étonnerait grandement. Nous avons encore le temps avant de dîner, allons visiter un peu, cela nous occupera. Sauf si vous voulez vous reposer, je ne vous obligerai pas.
- Entendu, étant donné que c’est moi qui ai commencé à proposer de devoir cherché, il est logique que je n’avais nullement l’intention de me reposer. »
Dis-je simplement avec ma monotonie habituelle. Elle avait déjà ranger ses affaires ou en tout cas, ce que je supposais l’être. Moi, en dehors de ce que je portais actuellement, je ne possédais rien. Ainsi, je me contentai d’attendre Alice pour repartir en vadrouille. Le bateau était bien rempli et a part les quelques âmes solitaires et ceux ne parlant pas, des groupes de discutions s’était rapidement formée. Cela essentiellement entre personne semblant partager la même classe sociale. Sans doute que la seule relation possible entre un fortuné et un qui l’est moins, est celui d’employé et de patron. Moi, même a coté des plus modeste, je détonnais facilement de part mon apparence mais aussi ma race des plus apparente.

Alors il n’en fallu pas plus pour qu’un jeune individu vienne à notre rencontre, il avait l’air a la recherche d’occasion, je l’avais vu il y a peine quelque seconde, discuté avec une dame a propos, de ce que j’avais cru voir, une montre dorée. Au premier abord, il aurait pu paraitre ordinaire ou habillé modestement mais ils se révélait quand on y regardait de plus près, relativement fortuné. La qualité du tissu de ses habits semblait supérieure, même pour quelqu’un n’y connaissant rien comme moi. Son oreille droite ornait quelques bijoux lui aussi, de petite taille certes mais qui se laissais très bien porté par un individu de ce physique.
Je regardai Alice et cela sembla suffire pour qu’il semble s’avoir enfin a qui il pouvait adresser la parole bien qu’il semblait se tromper lourdement sur la relation qu’il avait sous les yeux. Remettant en place par un mouvement de la main, ses cheveux bruns en arrière en arborant un sourire, ses premiers mots, plein d’arrogance prirent place. D’où nous partions et ou nous allions semblais avoir en partie, entrainé la méprise.
 « - Bonjour Madame ! Je me présente, je suis Zerech Ladimon Fret. »
Il avait fait une petite révérence et tout ce que je me dis, c’est qu’il avait un bien grand nom.
 « - Vous avez un change-forme bien intéressant, je n’en avais encore jamais vu d’une telle sorte et s’il vous accompagne ici c’est que ça doit être également une domestique forte utile avec de solide compétence. Ainsi, j’aimerais l’acquérir, a bon prix bien entendu ! Ayant une entreprise à Sabliar, un change forme comme ça me serais fort utile. »
Il attendit un court instant, semblant persuader que son discours avait fait mouche et qu’il m’avait déjà acquis. Comme si c’était qu’une question de temps avant que je lui revienne. Il appuya encore son discours.
 « - Bien sûr, je ne la réclamerais qu’a notre arrivé, ce lieu n’est peut-être pas propice et je ne voudrais pas vous priver de ces services durant ce voyage. »
Son sourire s’élargit, semblant déjà près à sortir sa bourse, à payer sur le champ.
 « - Alors, quel prix vous conviendrais ? »
Je ne dis rien, je préférais regarder les autres passagers, surtout ceux qui avait détourné le regard de leur bavardage pour jeter un œil au cirque qui se déroulait sous leurs yeux. Ceux qu’on faisait sembler en effet bien évidant pour ce fameux informateur alors je supposais à tort ou à raison, qu’il ou elle devait nous surveiller. Je n’aimais pas réfléchir autant et pourtant, ça n’arrêtait pas…. Dans tous les cas, je vis aucun individu qui sortais réellement du lot.

@Tenebreuse

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PV Alice Beauregard

Ainsi, malgré l’assistance de l’individu, Alice répondit que je n’étais pas à vendre. En vérité, j’appartenais déjà à quelqu’un en quelque sorte même si cette situation n’était pas des plus clair. Après tout, on m’avait comme poussé d’un endroit pour mieux m’inciter à y revenir. Elle me prit le poignet, me conduisant loin de l’homme qui avait fait sa proposition. Il ne semblait pas être encore décider à renoncer à moi, quelque que soit ce qu’il avait prévu de faire de ce corps a l’origine, de suite. Il fut donc d’un sens certain quand elle me chuchota qu’il faudrait se méfier. Car bien que ce qui arrive à cette chair ne pourrais me faire ni chaud ni froid, mon esprit ne lui appartenant plus vraiment, cela serait retarder l’objectif principal sans réel raison. Le reste de notre sorte de patrouille ne donna en réalité pas grand-chose d’autre si ce n’est d’avantage de regard suspicieux. Sans doute que notre duo ne passa pas inaperçu et parmi ses dames et messieurs, il était certain que bien d’autre se trompais également dans notre relation mais aucun n’était aussi aventureux. Ma couleur ébène n’était pas la seule chose qui attirais l’œil, la beauté certaine en la personne d’Alice ne laissais pas les messieurs de marbre. Et tout comme la fortune de l’un l’avait convaincu qu’il serait simple de m’acquérir, la main de la fille était convoitée et ils ne seront probablement pas qu’un à venir lui proposer diverse chose, une danse, un diner, que sait-je d’autre ?

Mais finalement, le diner approcha et ce dernier fut constitué de met qui pourrais surement être décris de délicat même si, encore une fois, par habitude, je ne finis pas mon assiette. Cela marqua également véritablement le début du voyage au bruit de l’ancre qui était remonté et des différents marins qui s’activait pour faire avancer le navire. De retour a la cabine, Alice se jeta sur un lit, demandant ;
« - Peut-être devrions-nous veiller à tour de rôle. Je ne me sens pas en confiance dans ce navire, surtout à présent que nous avons quitté le port ! Qu'est-ce que vous en pensez ? Je peux prendre le premier tour, j'ai de quoi m'occuper.
- On attirait les regards et pas que ma fourrure noire, je pense que vous aussi vous êtes la source de convoitise de certain même si probablement pas pour la même raison. Comme vous voulez pour veiller à tour de rôle, cela ne me dérange également pas si vous souhaiter que je monte seule la garde la nuit. »
La plupart des félins sont nocturne, c’est peut-être l’une des choses qui m’est rester le plus facilement quand tout le reste fut partis. J’avais déjà commencé à me déshabiller quand elle me donna sa réponse, quel qu’elle soit. Si elle souhaitait que je prenne le tour que ça soit pour un temps déterminer ou non, je me mettrais devant la porte, assise. Dans l’autre cas, l’endroit serait la même mais pas mon allure, je me coucherais alors sur le sol. Dans les deux cas, cela serait sous ma forme animal, d’où la raison que j’enlève mes vêtements sans aucune pudeur maintenant.

@Tenebreuse